Pris en charge par les ONG et des familles d’accueil, les quatre enfants palestiniens accueillis à Genève reprennent des forces.

Malgré des campagnes de promotion, les places en famille d’accueil continuent à manquer dans le canton. La moitié des enfants en attente sont des mineurs non accompagnés.

Les animatrices et animateurs de l’accueil parascolaire des enfants demandent une revalorisation salariale.

Sans structures d’accueil extrafamilial, l’économie et la société suisses pourraient à peine fonctionner. Selon les chiffres les plus récents de l’OFS 1, ce mode de prise en charge concerne presque deux-tiers des moins de 13 ans et la part des grands-parents égale celle des crèches et structures d’accueil extrascolaire. La crise sanitaire a montré que ce fonctionnement est un vecteur d’instabilité, avance l’USS.