La Suisse continue d’importer des produits provenant des territoires occupés, tandis que la BNS, UBS et des caisses de pension persistent à investir dans des sociétés prospérant dans l’économie de génocide. Notre dossier.
Deux ans de génocide: la Suisse complice
Édito
Gaza, la solidarité contre le néant
Gaza, la solidarité contre le néant
Plus de 67'000 Palestinien·es tué·es, dont près de 20'000 enfants. Probablement beaucoup plus, car les statistiques ne tiennent compte que des victimes recensées, dans un territoire où les...
Investissements
Caisses de pension sous pression
Après Genève, les appels au désinvestissement d’actifs liés à Israël se multiplient dans les institutions publiques suisses, portés par syndicats, élu·es et ONG.
Financement
La BNS finance des entreprises complices
Des investissements de la Banque nationale suisse participent au génocide en cours à Gaza.
Israël-Palestine
Gaza, deux ans de génocide
Quelques points de repère, à l’heure où l’espoir d’un cessez-le-feu renaît, tandis que les bombardements et la famine continuent à ravager l’enclave.
Israël
Des mangues et des dattes au goût colonies
Sur nos étals, des denrées produites en territoires occupés par Israël. Un commerce qui contribue aux violations des droits humains en Cisjordanie et dans le Golan. Enquête.
Banques suisses
De Pretoria à Gaza, les profits d’UBS d’abord
UBS a décuplé ses investissements dans le marchand d’armes israélien Elbit depuis le 7 octobre 2023. Son soutien à Israël fait écho à sa proximité avec le régime d’apartheid en Afrique du Sud, pour le spécialiste Gian Trepp.