Pendant les quelques jours qui ont suivi l’annonce d’une rencontre prochaine entre Trump et Poutine à Budapest, Viktor Orbán était extatique. Le premier ministre hongrois, qui a tout fait pour ralentir et amoindrir le soutien européen à l’Ukraine, pouvait pleinement embrasser son rôle favori: celui d’émissaire de la «paix», écrite avec une ou plusieurs majuscules. […]
Une baffe pour Viktor Orbán?
Un «sommet de paix» à Budapest aurait été une revanche sur l’UE pour le premier ministre, à la fois pro-Trump et pro-russe. Depuis l’annonce d’un report, sa diplomatie s’active à sauver la rencontre.