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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Le mot du traducteur – Benjamin Pécoud

Benjamin Pécoud a traduit le premier roman de Meral Kureyshi et retrouve dans son deuxième livre, Nous n’avons jamais été dans la mer, la même instabilité. Traduire le monde flottant de Kureyshi exige une extrême précision.
Benjamin Pécoud. DR

En 2017, j’ai traduit le premier roman de Meral Kureyshi, Des Eléphants dans le jardin. Ce roman était aussi ma première traduction et à l’époque, j’avais été frappé par le numéro d’équilibriste et la précision que me demandait cette tâche. Je pensais alors que cette précision était le propre de la traduction, conformément à l’idée […]

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