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Danser pour réparer les femmes

A Vidy-Lausanne, la danseuse congolaise Inès Mangominja pense des outils contre les violences faites aux femmes lors d’une rencontre en prélude au spectacle Profanations de Faustin Linyekula.
La danseuse et chorégraphe Inès Mangominja promeut aussi la danse comme un outil de résilience. STUDIOS KABAKO
Danse

Demain au Théâtre de Vidy-Lausanne, Inès Mangominja abordera les tensions dans son pays, la République démocratique du Congo, les luttes pour l’autonomisation des femmes et la résilience grâce à l’art. Un avant- goût du spectacle Profanations de Faustin Linyekula, du 25 septembre au 1er octobre, dans lequel elle est interprète. La danseuse et chorégraphe a fondé la compagnie Phoenix, qui soutient entre autres les femmes dans la précarité, et collabore avec le chirurgien et gynécologue Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix 2018. Ce «docteur qui réparait les femmes» accompagne les victimes de viols comme crime de guerre, leur offrant un soutien médical, psychosocial, juridique et socio-économique. Inès Mangominja donne régulièrement des ateliers de danse aux femmes ayant subi des violences sexuelles et de guerre.

Je 18 septembre, 18h, Théâtre Vidy-Lausanne, vidy.ch