Il a fait chaud, en juillet 1921. Très chaud: plus de 38 degrés à Genève. Quelques semaines plus tard, c’est d’une plume transpirante que Ramuz commence à rédiger une fiction tout aussi caniculaire. «Par un accident survenu dans le système de la gravitation, rapidement la terre retombe au soleil et tend à lui pour s’y refondre», […]
Souligner le soleil ramuzien
D’une brûlante apocalypse signée Charles Ferdinand Ramuz en 1922, l’illustratrice Karen Ichters propose une relecture très… illustrative.