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Les Radicaux genevois

Christian Perrier commente notre article «La droite a cassé sa boussole».
Politique

Dans votre édition du mardi 15 avril 2025, votre journaliste a raison de souligner que «le Parti libéral n’est pas parvenu à reconquérir un siège en Ville».

En effet, à Genève, le PLR pourrait bien retirer le «R» de son nom, car aujourd’hui, il est légitime de se demander quelles valeurs guident encore ce parti, tant la philosophie purement libérale y fait force de loi, reléguant les racines radicales au second plan.

Depuis les dernières élections cantonales, de nombreux électeurs à l’âme radicale ont tourné le dos à ce qu’est devenu le PLR pour gagner d’autres partis naissants. Mais soyons clairs, l’ADN du radicalisme ne peut cautionner n’importe quel projet ou discours – encore moins des actions critiquables voir répréhensibles, comme celles entachant les élections à Vernier.

Aujourd’hui, à nos yeux, seul Elan Radical incarne fidèlement ce renouveau que les Radicaux ont toujours défendu: un engagement sincère d’hommes et de femmes habités par une volonté de transformation de notre société au service de toutes et tous. Pour l’ensemble de la population et pas pour une minorité qui se croit privilégiée et qui traite le peuple comme un simple troupeau de moutons.

Dans un monde de plus en plus instable, resteront celles et ceux qui sauront inspirer confiance, donner un cap, et défendre l’intérêt général dans les tempêtes à venir.

Christian Perrier,
vice-président d’Elan Radical