Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Mourir sur un glacier qui s’en est allé

Avec Glace morte, les personnages de Walter Rosselli s’abandonnent tels des vieillards inuits au froid des Alpes et des glaciers.
Lettres romandes

«Puisqu’il faut mourir, autant que ce soit dans un beau paysage.» Alors le Nandou et la Schmied, fatigués d’exister, se mettent en marche vers l’amont à la recherche d’un glacier où ils pourraient, «à la manière des vieillards inuits», s’asseoir dans le froid et attendre que leur heure vienne. Le chemin est incertain, qui s’éloigne […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-