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Un réquisitoire pour «l’avenir»

Des peines de quatre à vingt ans sont requises contre les accusés des viols de Mazan.
Un réquisitoire pour «l’avenir»
Des militant·es exécutent une danse en soutien à Gisele Pelicot devant le Tribunal correctionnel d’Avignon, le 26 novembre 2024. KEYSTONE
France

L’accusation au procès des viols de Mazan a souhaité mercredi que le futur verdict constitue «un message d’espoir» pour les victimes de violences sexuelles. L’avocate de Dominique Pelicot a tenté elle de faire émerger son «humanité». «Par votre verdict, vous signifierez que le viol ordinaire n’existe pas, que le viol accidentel ou involontaire n’existe pas. […]

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