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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Game Ovaire traque les biais sexistes

Oui, les femmes préhistoriques chassaient. Non, les mâles ne sont pas systématiquement plus grands et non encore, la testostérone ne constitue pas un destin. Un ouvrage bourré d’humour et très instructif tord le cou à plusieurs stéréotypes de genre qui pèsent sur la science.
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Une BD pour «en finir avec les arguments scientifiques sexistes et périmés». HELVETIQ
Sciences

La science, parée de grandes vertus d’objectivité, n’échappe pas aux biais. Qu’il s’agisse de biologie, d’archéologie, de neurosciences ou de zoologie, une BD jubilatoire entend «en finir avec les arguments scientifiques sexistes et périmés». Dans la veine des ouvrages de Liv Strömquist, Game ovaire est signé Lucia Sillig, physicienne de formation et journaliste scientifique à […]

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