L’ambiance est tout de suite posée. Face au public, une longue table et ses quatre convives se dressent. Autour de ces visages blafards et terrifiants gravitent deux serveurs. La soirée s’annonce pantagruélique, comme d’habitude, jusqu’à l’arrivée d’un invité que personne n’attendait: Alfredo Traps. Victime d’une panne de voiture, ce représentant des textiles Ephaistos est contraint […]
Un invité présumé coupable
Au Galpon, Gabriel Alvarez présente sa version de La Panne, satire terrifiante où Friedrich Dürrenmatt critique la justice et interroge la nature humaine.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-