D’après ce qu’on a pu en voir jusque-là, le cinéma mongol se déploie toujours dans les steppes. Un décor grandiose dont on admire les paysages majestueux, mais forcément limité comme réservoir de fictions – entre yourtes et troupeaux, on y célèbre habituellement un mode de vie rude et immuable. Or, avec Si seulement je pouvais […]
Un chaman amoureux
Chronique urbaine, City of Wind, premier long métrage de Lkhagvadulam Purev-Ochir, confirme le renouveau du cinéma mongol.
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