Le procès Hinduja, à nouveau suspendu, fait l’éloge de la forme au mépris du fond. Les victimes sont confrontées à une interminable attente.

Le procès pour traite d’êtres humains et usure qui devait s’ouvrir lundi à l’encontre d’une riche famille indienne est repoussé. Trop d’absences du côté de la défense ont empêché sa tenue.

Le procès de l’affaire Hinduja, du nom d’une richissime famille indienne poursuivie pour traite d’être humains et usure, a repris lundi par défaut, en l’absence d’une partie des prévenu·es. Au menu, joutes techniques.

Dans le procès Hinduja, du nom d’une richissime famille indienne accusée de traites d’êtres humains et d’usure, la défense perd une manche. Elle n’évitera pas un traitement sur le fond en juin

Les quatre membres de la famille indienne poursuivis pour traite d’êtres humains reprochaient au Tribunal correctionnel d’avoir eu un échange avec un journaliste accrédité.

Le procès de la famille de milliardaires indienne a repris au Tribunal correctionnel. Mais un accord financier pourrait changer la donne pour les plaignant·es.

L’arrangement entre les parties, jeudi, aboutit au retrait des trois plaignant·es de la procédure. Mais le procès va de l’avant car la traite d’êtres humains par métier est poursuivie d’office.

Dernier jour de plaidoirie, ce mardi au Tribunal correctionnel, pour le procès des quatre membres de la richissime famille indienne. Le verdict sera rendu vendredi.

Le procureur Yves Bertossa requiert des peines de prison ferme et des amendes salées contre la famille de milliardaires indienne accusée de traite d’êtres humains et d’usure.

Le procès d’une famille indienne fortunée accusée d’usure et de traite d’êtres humains devrait s’ouvrir lundi, après que de multiples recours de la défense ont retardé sa tenue.

Au troisième jour, le procès Hinduja a donné la parole aux plaignant·es. Des témoignages tiraillés entre conditions matérielles misérables et attachement sentimental.