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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Au nom de l’art

Jessica Palud retrace le destin tragique de l’actrice Maria Schneider, violentée sur le tournage du Dernier Tango à Paris. Une nécessaire relecture post-MeToo.
Au nom de l'art
Maria Schneider (Anamaria Vartolomei) et Marlon Brando (Matt Dillon) sur le tournage du Dernier Tango à Paris. FRENETIC FILMS
MeToo

Dans les dictionnaires du cinéma, les notules sur Le Dernier Tango à Paris (1972) évoquent la fameuse «scène du beurre» sur un ton goguenard. Une scène improvisée où Maria Schneider est plaquée au sol et violée par Marlon Brando, avec du beurre comme lubrifiant… Une ­sodomie simulée, mais une humiliation bien réelle pour la jeune […]

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