Accélérer l’accès aux médicaments en fixant un prix temporaire pourrait être salvateur pour certains patients. Mais cela déplaît à la pharma romande, au contraire de la faîtière suisse.
Le président du GRIP, René Jenny, estime que le prix provisoire constitue un risque pour les entreprises pharmaceutiques qui
devraient constituer
des réserves pour parer à l’abaissement du montant définitif
approuvé par Berne.
ANDRÉ BULLIARD
