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L’accueil familial des réfugié·es à la peine

Alors que les autorités y voient la solution idéale, le nombre de familles prêtes à accueillir de jeunes réfugié·es peine à augmenter à long terme. Etat des lieux.
L’accueil familial à la peine
Genève veut privilégier l’accueil familial plutôt que les foyers pour les jeunes requérant·es d’asile majeur·es.Mais seules une poignée de familles sont prêtes à jouer le jeu. KEYSTONE/PHOTO PRETEXTE
Asile

Un appartement ou une maison plutôt qu’un centre d’hébergement. La stabilité plutôt que l’incertitude. Les autorités genevoises, gouvernement et parlement, sont d’accord, il faut privilégier l’accueil familial plutôt que les foyers pour les jeunes requérant·es d’asile majeur·es. Pour autant, cette volonté commune, une fois n’est pas coutume, peine à se concrétiser. Caritas, dont le mandat […]

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