Au Rwanda, enseigner l’histoire du génocide des Tutsis sans susciter les haines demeure complexe dans un pays où les enfants des bourreaux croisent chaque jour ceux de leurs victimes.
«Notre histoire est comme une cicatrice, qui doit rester fermée. Il faut que les jeunes générations arrivent à prendre leurs distances avec le passé
de leurs parents mais sans en faire un tabou», plaide l’historien Philibert Gakwenzire. KEYSTONE-prétexte