Elle a une coiffure à la Mafalda, des yeux un peu comme ça (.) (.) et surtout un grand désarroi car son papa n’est plus là. Enterré sous une couronne de fleurs, dès la première page de cet album signé Conradin Wahl, dans lequel une petite fille traverse les encres noires du royaume des morts. […]
La mort, chat alors
Le Lucernois Conradin Wahl publie un conte initiatique au surréalisme tragique. Un premier album d’une belle expressivité faussement naïve.

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