Six décennies après la «révolution verte», l’Inde prend peu à peu conscience des coûts environnementaux et sanitaires des intrants chimiques. Elle détient déjà le record du nombre d’exploitations bio.
Mishri Lal Rajput a continué à utiliser des intrants chimiques après la catastrophe
de Bhopal. «Aujourd’hui, je me sens coupable parce que nos enfants vont tomber malades à cause de ce que nous avons fait dans nos champs» regrette-t-il. SCR