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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Le mot de la traductrice – Camille Luscher

Pour restituer le tourbillon verbal d’Adolf Wölfli, Camille Luscher a choisi de le traduire au fil du texte pour en faire surgir les images, les histoires. Une prose-fleuve qui laisser affleurer les inventions orthographiques et typographiques de l’écrivain.
Le mot des traducteurs 1
Camille Luscher. DR

Traduire la prose d’Adolf Wölfli, c’est se laisser entraîner dans un tourbillon verbal, se laisser prendre dans le maelström des cours d’eau qu’il se plaît à remonter – et en ressortir la tête bourdonnante. La phrase commence et on ne sait pas où elle se termine, si même elle se termine. J’essaie de remettre les […]

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