Certains films laissent une empreinte durable dans les esprits. Premier long métrage de Vladimir Perišic, Ordinary People (2009) était de ceux-ci. Durant une journée, caméra collée à la nuque de son protagoniste, le cinéaste serbe y suivait un soldat ordinaire enrôlé pour accomplir des exécutions sommaires. Au-delà de la guerre en Bosnie, une méditation existentielle […]
Guerre intérieure
Quatorze ans après Ordinary People, Vladimir Perišić réapparaît avec Lost Country, un second long métrage admirable mais moins mémorable.
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