Marquée par les déclarations du chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, et du chef de la diplomatie étasunienne, Antony Blinken, la journée de vendredi a aussi vu l’armée israélienne volontairement viser des ambulances.
Dans son premier discours, très attendu, depuis le 7 octobre, le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a mis en garde Israël contre la «bêtise» d'attaquer le Liban et affirmé que l'arrêt de «l'agression contre Gaza» empêcherait une guerre régionale. Photo: ses supporters écoutent son discours, à Beyrouth, au Liban. KEYSTONE