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L’espoir du retour de l’intégrité

Elu président dimanche avec 59% des suffrages, Bernardo Arévalo promet un coup de balai anticorruption dans un des pays les plus inégalitaires et corrompus d’Amérique latine.
Bernardo Arevalo, porteur d’espoir
Sociologue et ancien diplomate, Bernardo Areval - ici aux côtés de la vice-présidente Karin Herrera - est le fils du premier président démocratiquement élu du pays, Juan José Arevalo (1945-1951). KEYSTONE
Guatemala

Ce sont deux candidats se réclamant de la social-démocratie qui s’affrontaient dimanche pour le second tour de l’élection présidentielle au Guatemala. Mais un abîme séparait Sandra Torres, 67 ans, et Bernardo Arévalo, 64 ans. L’ancienne première dame, quand elle était mariée à Alvaro Colom, président entre 2008 et 2011, est un pur produit d’un système […]

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