Elu président dimanche avec 59% des suffrages, Bernardo Arévalo promet un coup de balai anticorruption dans un des pays les plus inégalitaires et corrompus d’Amérique latine.
Sociologue et ancien diplomate, Bernardo Areval - ici aux côtés de la vice-présidente Karin Herrera - est le fils du premier président démocratiquement élu du pays, Juan José Arevalo (1945-1951). KEYSTONE