Vingt ans après la mort de la féministe Monique Wittig, son lesbianisme radical continue à inspirer. Ce projet humaniste tente de penser la fin de la dualité sexuelle.
Pour la sociologue Sara Garbagnoli, l’écrivaine et théoricienne lesbienne française Monique Wittig, co-fondatrice du Mouvement de libération des femmes en France, a révolutionné la pensée politique et littéraire du XXe siècle. KEYSTONE