Solidarité

Mines mortifères

La sociologue sud-africaine Asanda-Jonas Benya révèle l’ampleur des impacts négatifs de l’industrie extractive en les passant au tamis du genre.
Mines mortifères
Depuis 2002, la législation sud-africaine autorise les femmes à travailler dans les mines. Aujourd’hui, elles sont plus de 63 000, soit 14% de la main-d’oeuvre. ASANDA-JONAS BENYA.
Afrique du Sud

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