Solidarité Mines mortifères La sociologue sud-africaine Asanda-Jonas Benya révèle l’ampleur des impacts négatifs de l’industrie extractive en les passant au tamis du genre. dimanche 7 mai 2023 Nathalie Gerber McCrae Depuis 2002, la législation sud-africaine autorise les femmes à travailler dans les mines. Aujourd’hui, elles sont plus de 63 000, soit 14% de la main-d’oeuvre. ASANDA-JONAS BENYA. Afrique du Sud Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste