En cas de violences conjugales, les personnes sans papiers risquent la clandestinité lorsqu’elles quittent leur conjoint·e. La loi pourrait bientôt changer.
Rassemblement genevois à l’occasion de la Journée internationale contre les violences sexistes et sexuelles, le 25 novembre 2021. De nombreuses personnes sont contraintes de rester dans une situation violente pour obtenir ou conserver leur titre de séjour. KEYSTONE