Teona Strugar Mitevska sonde les traumatismes de la guerre dans le huis clos tragi-comique L’Homme le plus heureux du monde. Critique et interview de la réalisatrice.
Pour ausculter les séquelles de la guerre en ex-Yougoslavie, Teona Strugar Mitevska enferme ses personnages dans un bâtiment à l’architecture brutaliste durant une journée, pour un huis clos oppressant. TRIGON-FILM