Plusieurs milliers de caméras de surveillance filment en continu les espaces publics et privés du canton. Un rapport révèle que la loi n’est pas toujours appliquée clairement.
Selon la loi cantonale genevoise, les données issues des caméras doivent être détruites en principe dans un délai de 7 jours. Ce délai peut être porté à 3 mois en cas d’atteinte avérée aux personnes ou aux biens et, en cas d’ouverture d’une procédure pénale, jusqu’à son issue. JPDS