Chaque automne, c’est la même rengaine: dès que les températures baissent, les rues de Tuzla se couvrent d’un épais brouillard. Ce «smog», comme les gens l’appellent, est devenu le symbole de l’extrême pollution de l’agglomération, forte d’un peu plus de 100 000 âmes, où l’on cultive le souvenir d’une Bosnie cosmopolite et antinationaliste. Les portraits du […]
L’avenir en anthracite
Depuis des décennies, le charbon fait vivre Tuzla, la grande ville ouvrière de l’Est de la Bosnie. Même si la terrible pollution tue les habitants à petit feu, les autorités refusent d’y renoncer.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-