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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Niki de Saint Phalle, un ange passe

Par-delà ses Nanas affranchies, l’œuvre de l’artiste irréductible est un bestiaire radical. A (re)découvrir jusqu’au 15 janvier au Kunsthaus de Zurich.  
Niki de Saint Phalle, un ange passe
Niki de Saint Phalle, Skull, ­Meditation Room (1990). Niki Charitable Art Foundation
Beaux-arts

Elle est toujours là, au plafond de la gare de Zurich, Nana généreuse illuminant le ciel bas des voyageurs pressés. L’Ange protecteur, beau comme une déesse pop en maillot de bain et qu’il faut dépoussiérer tous les trois mois à l’aide d’un plumeau, porte haut (11 mètres) l’art d’enluminer le réel. Puis on entre dans […]

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