Comme tous les réalisateurs iraniens, rusant pour distiller leurs critiques en sous-texte, Jafar Panahi doit composer avec la censure étatique. Depuis sa condamnation pour «propagande contre la République islamique» en 2010, le cinéaste en fait le sujet même de ses films – tournés clandestinement, dans son appartement (Ceci n’est pas un film) ou dans les rues […]
Imbroglio iranien
Dans le collimateur du régime, Jafar Panahi aggrave son cas avec Aucun Ours, une parabole absurde et insolente.
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