«Quand je rentre au Liban et que je vois la différence de niveau de vie entre ici et là-bas, ça me déprime. A Genève, je dépense facilement 100 francs pour un repas au restaurant. Là-bas, cela suffirait presque à faire vivre une famille libanaise ou de réfugiés syriens pendant un mois», nous confie Chouaa Halabi, […]
Un espoir alimenté par l’action
Chouaa Halabi a lancé une multitude d’initiatives personnelles pour aider le Liban, son pays d’origine. En attendant une vraie gouvernance sociale et environnementale.
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