Les travailleurs et travailleuses sociales dénoncent un manque de moyens chronique et s’inquiètent d’une baisse de la qualité des prestations offertes à la population.
La «marche de la honte» a défilé de la Maison de quartier de la Jonction au Centre d’action sociale des Bains en
passant par l’Office
médico-pédagogique et le Service
de protection des mineurs. ERIC ROSET