L’association a demandé à l’Université de Genève de de renoncer à porter plainte contre des militant·es qui avaient interrompu une conférence jugée transphobe
La CUAE demande à l’UNIGE «d’arrêter, de manière plus générale, d’utiliser la répression administrative, policière et judiciaire comme moyen de réagir à la contestation au sein de l’université». JPDS/IMAGE D'ILLUSTRATION