Sa sonorité est moins brillante, moins démonstrative que le violon. Mais aussi plus intime, avec une virtuosité subtile: oui, c’est bien de l’alto dont il s’agit. Le second de la famille des cordes n’a pas la chance de bénéficier d’un immense répertoire solistique. L’époque baroque l’ignore même royalement. Jusqu’à Telemann, compositeur prolifique, qui lui écrit […]
Un alto précurseur
Antoine Tamestit s’empare de l’alto avec une élégance folle au sein de l’ensemble spécialisé berlinois Akademie für Alte Musik.