Scène Les hallucinations de Neil Armstrong En apesanteur entre sidération plasticienne, métaphysique du doute, critique du capitalisme spatial et biopic inspiré, Neil gravite autour de l’Absurde beckettien. lundi 6 décembre 2021 Bertrand Tappolet Neil Armstrong (Christophe Baltus) rencontre sa fille Karen (Stéphanie Schneider) dans son adolescence imaginaire. MATHILDA OLMI Théâtre Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste