De nombreuses femmes craignent de subir des violences sexuelles alors qu’elles logent sous des abris de fortune dans le dénuement le plus total et sans aucune intimité.
Après le séisme de 2010, plusieurs centaines de femmes avaient été violées dans les camps, selon un rapport d'Amnesty International. Aujourd'hui, de nombreuses Haïtiennes craignent que ce scénario se reproduise. KEYSTONE