«Toute personne qui propose des films en ligne en Suisse et en tire des bénéfices devrait être obligée de respecter des normes minimales. Il s’agit notamment que les fournisseurs investissent 4% de leurs revenus dans la production de films suisses indépendants, comme les diffuseurs de télévision doivent déjà le faire aujourd’hui», a plaidé le cinéaste genevois Jacob Berger, coprésident du groupe des auteurs, réalisateurs et producteurs de cinéma (GARP).
KEYSTONE/Christian Beutler