En trois ans, quatre journalistes marocain·es critiques ont été condamné·es pour des délits de mœurs. Leurs défenseurs et leurs soutiens dénoncent une parodie de justice, destinée à camoufler la censure.
Le mois de juillet a été cruel pour les journalistes marocains ayant défié le pouvoir; les juges ont à chaque fois retenu contre eux des délits à
caractère sexuel. Une pratique qui tend à se répéter. KEYSTONE