Égalité La population trop peu protégée? Face aux risques d’abus, les médecines complémentaires restent peu encadrées. Une collaboration entre l’Etat et les privés pourrait changer la donne. dimanche 28 février 2021 Dominique Hartmann Près de 40% de la population suisse romande indique avoir recours au moins une fois par année à des thérapies complémentaires. KEYSTONE PHOTO PRETEXTE Abus Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste