Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

L’exil 2.0 des extrémistes

Chassés de Facebook et Twitter, les groupes américains conspirationnistes et suprémacistes blancs se sont retrouvés sur des réseaux plus confidentiels et plus difficiles à réguler.
L’exil 2.0 des extrémistes
Après les émeutes du 6 janvier au Capitole, les principaux réseaux sociaux ont sévi contre les organisations impliquées, comme les Proud Boys. KEYSTONE
États-Unis

Gab au lieu de Twitter, MeWe pour remplacer Facebook, Telegram comme messagerie et Discord pour les initiés: bannies des plateformes grand public, les mouvances américaines conspirationnistes et de suprémacisme blanc se sont repliées sur des réseaux plus confidentiels et plus difficiles à réguler. «Les partisans de Trump les plus extrêmes étaient déjà bien installés sur […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Essai 2 mois
Promo: 10.- au lieu de 25.-
Je teste
Accès 1 jour
3.-
Je lis