Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Face au mal social et intime

Road movie hanté par la violence des gangs, le premier film de Fernanda Valadez, Sans signe ­particulier, chemine entre réalisme social-poétique et mysticisme. Troublant.
Face au mal social et intime
Plus qu’un voyage-enquête, "Sans signe particulier" tient de l’expérience envoûtante. TRIGON-FILM
Fiction

Dans le sillage de ses compatriotes Carlos Reygadas (Lumière silencieuse) et Alfonso Cuarón (Le Fils de l’homme), la cinéaste mexicaine Fernanda ­Valadez bouleverse tout sur son passage avec sa première fiction à base documentaire, Sans signe particulier (Sin señas particulares). Son mélange subtilement dosé de genres, du réalisme méditatif au surnaturel diabolique, a déjà reçu […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-