International

La liberté pour phare

Elle s’est située à la croisée du féminisme et de l’anticolonialisme. L’avocate franco-tunisienne Gisèle Halimi est décédée mardi, laissant derrière elle le souvenir d’une femme vent debout pour les droits des opprimé-es.
La liberté pour phare
Gisèle Halimi à la Fête de l'Huma en 2008. OLIVIER TÉTARD / WIKICOMMONS
Carnet noir

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