Livres Langues brisées Marina Skalova questionne l’exil et le déracinement en dialogue avec des requérants d’asile et la photographe Nadège Abadie. jeudi 18 juin 2020 Anne Pitteloud «La grammaire où je suis assise se pulvérise / les certitudes s’effritent, leur crépi se craquelle», écrit Marina Skalova. NADèGE ABADIE Essai Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste