Le président philippin est mis en cause par le Haut-Commissariat aux droits de l’homme pour avoir encouragé des violations des droits de l’homme en toute impunité.
La nouvelle loi antiterroriste discutée mercredi au Parlement contre laquelle ces manifestants ont défilé, si elle entre en vigueur, sera «pire» que les réglementations actuelles, s'inquiète l'ONU. KEYSTONE