En un mois, le nombre de patients en soins intensifs a été divisé par deux. Après une mobilisation sans précédent, les soignants pensent enfin à prendre du repos.
Aucun des soignants ne semble inquiet, l’œil profane étant incapable dire s’il s’agit de sérénité ou de concentration appliquée. JEAN-PATRICK DI SILVESTRO