Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Le mot de la traductrice – Françoise Toraille

En traduisant Melinda Nadj Abonji, Françoise Toraille s’est efforcée de recréer le caractère incantatoire de son texte, son mouvement entre deux pôles antagonistes: l’incertitude temporelle, avec le caractère interchangeable des jours, et la certitude menaçante que rien ne changerait.
Le mot de la traductrice - Françoise Toraille
Photo DR

Dans ce texte, Melinda Nadj Abonji oscille entre l’incertain – c’était sans doute – et l’affirmation de certitudes oppressantes. Le sentiment d’une urgence s’impose – que symbolise l’imploration d’Iphigénie, victime innocente, à son père aimé et prêt à la sacrifier. Les choses familières, leur poids, sensibles à travers le rythme immuable du quotidien, mènent à […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Essai 2 mois
Promo: 10.- au lieu de 25.-
Je teste
Accès 1 jour
3.-
Je lis