Le mot de la traductrice – Françoise Toraille
En traduisant Melinda Nadj Abonji, Françoise Toraille s’est efforcée de recréer le caractère incantatoire de son texte, son mouvement entre deux pôles antagonistes: l’incertitude temporelle, avec le caractère interchangeable des jours, et la certitude menaçante que rien ne changerait.