Vaud «Le risque est que les laissés-pour-compte le deviennent encore plus» La communication est la clé d’une meilleure prise en charge des personnes les plus précaires, constate le spécialiste en médecine sociale Patrick Bodenmann. Interview. mardi 14 avril 2020 Selver Kabacalman «Les requérants d’asile ont beaucoup de questions. Ils ne comprennent pas forcément pourquoi il y a une pandémie, un confinement, ce qu’est cette maladie.» KEYSTONE Précarité Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste