On nous écrit

Pour des institutions au service des gens

Pierre Santschi espère que cette crise donnera lieu à des réformes.
Santé

Certains éditoriaux récents disent qu’il faut «aimer les seniors». Certes, mais ce ne sont pas les vieux dont il faut avoir le plus soin. De ma position d’octogénaire, je pense que la meilleure façon de nous aimer, c’est d’aimer activement les jeunes, en contribuant à une réforme profonde des institutions. On voit un «ministre» dit «de la Santé» laisser répandre sans réaction le glyphosate et d’autres poisons dans l’environnement, affaiblissant ainsi les défenses immunitaires naturelles des humains, jeunes en particulier, et assurer ainsi des revenus indécents aux cadres et administrateurs des pharmas.

On en sortira cependant comme on est sorti de la grippe asiatique de 1957, avec quelques accélérations vers la mort pour ceux qui ont été affaiblis par la favorisation active et passive de la destruction de l’environnement produite par les «élites» suisses et mondiales.

Quelle sont les principales réformes à mener? Un contrôle populaire des pouvoirs exécutif, administratif et judiciaire de tout niveau, avec instauration du tirage au sort des serviteurs de la collectivité dans ces trois pouvoirs, afin d’interrompre le 1984 d’Orwell en cours sous prétexte de Covid-19.

Avec l’exercice de l’éveil de la conscience personnelle chez nous tous, y compris chez les «élu-e-s».

Pierre Santschi,
Ing.-physicien EPFL, SIA,
ancien député, Lausanne

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